(PCC Congrès) Le 19e Congrès du PCC couvert par la presse étrangère
Abdul Waheed Odusile, chef de l'Association des journalistes du Nigeria, explique que deux équipes de télévision et deux équipes de journaux de son pays sont présentes à Beijing pour couvrir le 19e Congrès national du Parti communiste chinois (PCC) qui se déroule actuellement.
"La Chine et le Nigeria ont des relations de plus en plus étroites, et la Chine a beaucoup aidé aux travaux de construction dans notre pays. Ce sont les raisons pour lesquelles nous venons couvrir un événement si important", explique-t-il.
M. Odusile note que la plupart de l'actualité vis-à-vis de la Chine est rapportée par les médias occidentaux, mais que les journalistes de son pays veulent écrire leurs propres articles en découvrant le congrès par eux-mêmes.
"Nous espérons également davantage de coopération avec nos confrères chinois", ajoute-t-il.
Pour de nombreux médias, l'un des temps forts était le rapport présenté par Xi Jinping lors de la session d'ouverture du congrès, le 18 octobre.
Nikolay Selishchev, journaliste de l'agence de presse russe TASS, qualifie le rapport de M. Xi de "brillant".
"Je pense qu'il définit clairement les défis et questions clés du pays", déclare-t-il. "Selon moi, l'économie, la lutte contre la corruption, le développement des technologies aérospatiales et la modernisation de l'armée sont les parties les plus intéressantes de ce rapport."
Il note que le jour de la présentation du rapport, TASS a consacré 15 à 20 articles et un long résumé sur le sujet.
"Je pense que la Chine continuera de se développer et qu'il n'y aura que des changements positifs dans tous les domaines", explique-t-il.
Kirsty Needham, du Sydney Morning Herald, considère que la vision de Xi Jinping sur l'interaction entre la Chine et le monde à l'avenir est vraiment intéressante.
Selon elle, il est "très important pour la Chine de continuer à ouvrir son marché et à élargir l'accès aux investissements étrangers". "Il est bon de conna?tre les changements dans ce domaine, car nombre d'entreprises australiennes ont des échanges commerciaux avec la Chine", fait-elle remarquer.
"Le président chinois, Xi Jinping, est un homme bon", déclare Malkhaz Gulashvili, président et fondateur de Georgian Times. "Il a proposé l'initiative 'la Ceinture et la Route', un projet purement économique sans intentions cachées. Les autres grandes nations doivent apprendre de la Chine".
Il note en outre que la Chine possède un très bon modèle socioéconomique et que d'autres pays doivent aussi se focaliser sur la réduction de la pauvreté, en vue de parvenir un jour à un monde débarrassé de ce fléau.
"Aucun autre pays ne possède une organisation politique aussi grande et intelligente que le PCC", déclare-t-il. Fin
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