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    La participation active aux activit?s internationales
    en faveur des droits de l'homme
         
     

    La Chine reconna?t et respecte les buts et les principes de la Charte des Nations unies en ce qui concerne la protection et la promotion des droits de l'homme, appr?cie et soutient les efforts que les Nations unies d?ploient pour promouvoir la r?alisation universelle des droits et libert?s fondamentaux de l'homme, et prend une part active aux activit?s internationales en faveur des droits de l'homme. La Chine est pour le respect mutuel de la souverainet? des Etats et la sauvegarde en priorit? des droits ? l'existence et au d?veloppement des peuples des pays en voie de d?veloppement, de mani?re ? cr?er des conditions qui permettent aux habitants de l'ensemble des pays de b?n?ficier de tous les droits de l'homme. La Chine, qui a fait des efforts inlassables pour ?liminer tous les ph?nom?nes anormaux et renforcer la coop?ration internationale dans le cadre des droits de l'homme, s'oppose ? ce que l'on se serve des droits de l'homme pour s'ing?rer dans les affaires int?rieures d'autres pays.

    En avril 1955, lors de la Conf?rence afro-asiatique tenue ? Bandung en Indon?sie, le premier ministre chinois Zhou Enlai avait appos? sa signature sur le "Communiqu? final de la Conf?rence afro-asiatique" (D?claration de Bandung). Dans le communiqu?, les signataires exprimaient leur soutien total aux principes fondamentaux des droits de l'homme d?finis dans la Charte des Nations unies en faisant du "respect des droits fondamentaux de l'homme et des buts et des principes de la "Charte des Nations unies" le premier des dix principes de la coexistence pacifique. En mai de la m?me ann?e, lors de la r?union ?largie du Comit? permanent de l'Assembl?e populaire nationale, Zhou Enlai avait soulign? que la "D?claration en dix points de Bandung" stipule ?galement le respect des droits fondamentaux de l'homme et celui des buts et des principes de la Charte des Nations unies. Il s'agit l? de quelque chose que le peuple chinois a toujours pr?conis? et des principes que respecte la Chine depuis toujours. En 1986, au cours des d?bats g?n?raux qui se sont d?roul?s ? la 41e Assembl?e g?n?rale de l'ONU, le ministre chinois des Affaires ?trang?res a fait l'?loge du "Pacte international relatif aux droits civiques et politiques" et du "Pacte international relatif aux droits ?conomiques, sociaux et culturels", adopt?s par les Nations unies, ? l'occasion du 20e anniversaire de leur publication, en soulignant: "Les deux Pactes sont d'une signification positive pour r?aliser les buts et les principes de la Charte des Nations unies en ce qui concerne le respect des droits de l'homme. Ces buts et principes de la Charte de l'organisation b?n?ficient toujours du soutien du gouvenement chinois. Dans le discours qu'il a prononc? en septembre 1988, lors de la 43e Assembl?e g?n?rale de l'ONU, le ministre chinois des Affaires ?trang?res a fait remarquer que "la D?claration universelle des droits de l'homme" est un texte international qui traite syst?matiquement des probl?mes concrets du respect et de la protection des droits fondamentaux de l'homme. Bien qu'elle soit limit?e par les conditions historiques, elle a eu un impact profond sur le d?veloppement des activit?s internationales en faveur des droits de l'homme apr?s la Seconde Guerre mondiale, et a contribu? de fa?on positive ? les promouvoir."

    La Chine a activement particip? aux activit?s internationales en faveur des droits de l'homme. Depuis qu'elle a recouvr? son si?ge l?gitime ? l'ONU en 1971, elle a toujours envoy? des d?l?gations ? toutes les sessions du Conseil ?conomique et social et de l'Assembl?e g?n?rale des Nations unies, au cours desquelles les repr?sentants chinois ont activement examin? les sujets de discussions sur les droits de l'homme, et exprim? leurs opinions sur le probl?me des droits de l'homme, contribuant ? l'enrichissement du concept des droits de l'homme. A partir de 1979, elle a envoy? des d?l?gations aux sessions de la Commission des droits de l'homme de l'ONU durant trois ann?es cons?cutives. En 1981, elle a ?t? ?lue membre de cette commission lors de la premi?re session du Conseil ?conomique et social des Nations unies. Depuis 1984, les experts en droits de l'homme envoy?s par la Chine ? cette commission ont ?t? ?lus membres ou membres suppl?ants de la sous-commission de lutte contre les mesures discriminatoires et de protection des minorit?s. Ils ont jou? un r?le important dans cette organisation, et par ailleurs ils travaillent en tant que membres du groupe de travail pour les probl?mes des populations indig?nes et du groupe de travail pour les communications au sein de cette organisation.

    La Chine a particip? ? l'?laboration et ? la formulation des documents juridiques internationaux sur les droits de l'homme. Elle a maintes fois particip? aux groupes de r?daction des documents internationaux sur les droits de l'homme, comme les groupes de r?daction de la "Convention sur les droits des enfants", du "Pacte international relatif ? la protection des droits des ouvriers immigr?s et de leurs parents", de la "Convention sur l'interdiction de la torture et d'autres traitements ou punitions cruels, inhumains ou insultants", de la "D?claration sur les pouvoirs et les devoirs des individus, des groupes et des organismes sociaux en mati?re de promotion et de protection des droits et libert?s fondamentaux de l'homme reconnus de tous", de la "D?claration sur la protection des droits des minorit?s dans les domaines de la nationalit?, de la race, de la langue et de la religion". Les propositions et les amendements que la Chine a pr?sent?s lors des r?unions de ces groupes de r?daction ont ?t? fort appr?ci?s par toutes les parties. Depuis 1981, la Chine a particip? ? toutes les r?unions du groupe d'experts gouvernementaux charg? de la r?daction de la "D?claration sur le droit au d?veloppement", groupe relevant de la Commission des droits de l'homme de l'ONU, et pr?sent? des propositions, de mani?re ? ce que la d?claration soit vot?e en 1986 par la 41e Assembl?e g?n?rale de l'ONU. La Chine a soutenu les consultations globales organis?es par la Commission des droits de l'homme pour appliquer le droit au d?veloppement, et propos? de soumettre le probl?me du droit au d?veloppement comme sujet de discussion ind?pendant ? la Commission des droits de l'homme pour examen. Elle a toujours ?t? le co-auteur de la R?solution de la Commission des droits de l'homme sur le droit au d?veloppement. Le gouvernement chinois a sign? et ratifi?, depuis 1980, sept conventions internationales relatives aux droits de l'homme, comme la "Convention sur la pr?vention et la sanction du crime de g?nocide", la "Convention internationale sur l'interdiction et la punition du crime d'apartheid", la "Convention sur l'?limination de toutes les formes de discrimination ? l'?gard des femmes", la "Convention internationale sur l'?limination de toutes les formes de discrimination raciale", la "Convention relative au statut des r?fugi?s", le "Protocole relatif au statut des r?fugi?s", et la "Convention sur l'interdiction de la torture et d'autres traitements ou punitions cruels, inhumains ou insultants". Il a r?guli?rement pr?sent? ? la commission des rapports sur l'application des conventions relatives aux droits de l'homme auxquelles la Chine a adh?r?, et il a s?rieusement assum? les obligations qui lui reviennent en la mati?re.

    La Chine, qui d?fend toujours la justice, s'est livr?e ? des efforts inlassables pour sauvegarder le droit ? l'autod?termination nationale des pays du tiers monde et mettre fin aux violations massives des droits de l'homme. Comme tout le monde le sait, la Chine a travaill? inlassablement pour trouver une solution ?quitable et raisonnable aux probl?mes importants relatifs aux droits de l'homme, comme les probl?mes du Cambodge, de l'Afghanistan, de la Palestine, des territoires arabes occup?s, de l'Afrique du Sud, de la Namibie et du Panama.

    La Chine accorde une grande importance au probl?me du droit au d?veloppement. Elle est d'avis que le concept des droits de l'homme ne cesse de se d?velopper au fur et ? mesure de l'?volution historique. Selon la "D?claration sur le droit au d?veloppement", les droits de l'homme doivent comprendre non seulement les droits des individus mais aussi les droits des groupes, ce qui fait beaucoup progresser le concept traditionnel des droits de l'homme. L'adoption de cette d?claration r?sulte des efforts inlassables auxquels les pays qui ont r?cemment acc?d? ? l'ind?pendance et la communaut? internationale se sont livr?s pendant plusieurs ann?es, et rev?t une grande importance. Actuellement, beaucoup de pays en voie de d?veloppement progressent lentement sur le plan ?conomique et social, et le tiers des habitants de ces pays vivent au-dessous du seuil de la pauvret?, si bien que l'?cart entre pays pauvres et pays riches se creuse de plus en plus. Pour la grande majorit? des pays en voie de d?veloppement, les droits de l'homme les plus pressants sont le droit ? l'existence et le droit au d?veloppement sur les plans ?conomique, social et culturel. C'est pourquoi, ce qui compte, c'est d'accorder une grande importance au probl?me du droit au d?veloppement. La Chine appelle la communaut? internationale ? suivre de pr?s le probl?me du droit au d?veloppement des pays en voie de d?veloppement, ? prendre des mesures positives et efficaces en vue d'?liminer les aspects injustes et d?raisonnables de l'actuel ordre ?conomique international, d'am?liorer l'environnement ?conomique, d'?liminer progressivement les facteurs d?favorables qui restreignent le d?veloppement des pays en voie de d?veloppement, pour finalement ?tablir un nouvel ordre ?conomique international; ? faire dispara?tre les divers facteurs n?gatifs, comme le racisme, le colonialisme, l'h?g?monisme, l'agression, l'occupation et l'intervention ?trang?res, qui influent sur le droit au d?veloppement, afin de cr?er un environnement international favorable ? la r?alisation de ce droit.

    Au cours des activit?s de l'ONU en faveur des droits de l'homme, la Chine s'oppose fermement ? ce que quelque pays que ce soit se serve des droits de l'homme pour imposer ses valeurs, son id?ologie, ses conceptions politiques et son mode de d?veloppement ? d'autres pays, et pour s'ing?rer dans les affaires int?rieures des autres pays, en particulier des pays en voie de d?veloppement, ce qui porte atteinte ? la souverainet? et ? la dignit? de nombreux pays en voie de d?veloppement. De concert avec les autres pays en voie de d?veloppement, la Chine d?fend la justice et lutte fermement contre l'intervention ?trang?re. L'opinion de la Chine ? ce sujet est que les droits de l'homme sont par leur nature du ressort de la juridiction nationale d'un Etat, qui le respect de la souverainet? des Etats, la non-ing?rence dans les affaires int?rieures des autres pays, qui font partie des r?gles du droit international reconnues de tous, s'appliquent dans tous les domaines des relations internationales et naturellement dans celui des droits de l'homme. Le paragraphe 7 de l'article 2 de la Charte des Nations unies stipule qu'"aucune disposition de la pr?sente Charte n'autorise les Nations unies ? intervenir dans les affaires qui rel?vent essentiellement de la comp?tence nationale d'un Etat". Dans la "D?claration sur l'inadmissibilit? de l'ing?rence dans les affaires int?rieures des Etats et la protection de leur ind?pendance et de leur souverainet?", la "D?claration sur les principes du droit international concernant les relations d'amiti? et de coop?ration entre Etats en vertu de la Charte de l'ONU", et la "D?claration sur l'inadmissibilit? de l'ing?rence et de l'intervention dans les affaires int?rieures des Etats", il est solennellement d?clar?: "Nul Etat ni groupe d'Etats n'a le droit de s'ing?rer ou d'intervenir, directement ou indirectement, sous quelque forme que ce soit ou pour quelque raison que ce soit dans les affaires int?rieures et ext?rieures des autres Etats." "Il est du devoir d'un Etat de s'abstenir d'exploiter et de d?former les questions de droits de l'homme pour s'en servir pour s'ing?rer dans les affaires int?rieures des Etats ou faire na?tre la m?fiance et le d?sordre au sein ou parmi des Etats ou des groupes d'Etat." Ces d?clarations internationales montrent la volont? de l'?crasante majorit? des pays de faire respecter les r?gles fondamentales du droit international et les relations normales entre Etats, et constituent les principes fondamentaux que tous les pays doivent observer dans les activit?s internationales en mati?re de droits de l'homme. L'opinion selon laquelle le principe de non-intervention dans les affaires int?rieures des autres pays ne s'applique pas au probl?me des droits de l'homme va ? l'encontre du droit international. En r?alit?, ceux qui pr?conisent cette opinion le font dans l'intention de demander ? des pays souverains de renoncer ? leur souverainet? en mati?re de droits de l'homme. Certains se servent des droits de l'homme, les mettant au service de leur objectif politique, pour exercer des pressions et imposer leur id?ologie ? d'autres pays. En fait, ce n'est plus une question de droits de l'homme, c'est une manifestation de politique du plus fort, autrement dit d'intervention dans les affaires int?rieures des autres pays. Il est donc n?cessaire de faire dispara?tre ces ph?nom?nes anormaux dans les activit?s internationales en mati?re de droits de l'homme.

    La Chine est d'avis que pour renforcer la coop?ration internationale dans le domaine des droits de l'homme, tous les pays du monde doivent se comprendre et rechercher un terrain d'entente en laissant de c?t? leus d?saccords. Pour ce qui est de la r?alisation et de la protection des droits de l'homme, ils doivent rechercher leur propre voie en tenant compte de leurs conditions concr?tes, historiques, ?conomiques, politique, et culturelles, et identifier et prot?ger leur syst?me de droits de l'homme par des moyens l?gislatifs. Comme le souligne la R?solution de la 45e Assembl?e g?n?rale de l'ONU, "chaque pays a le droit de choisir et de d?velopper ses propres syst?mes politique, social, ?conomique et culturel". Dans la R?solution de la 46e Conf?rence sur les droits de l'homme, il est d?clar? qu'il n'y a aucun mode de d?veloppement qui puisse s'appliquer universellement ? toutes les cultures et ? tous les peuples. Si un pays en juge un autre selon les crit?res de son propre mode de d?veloppement ou impose son propre mode de d?veloppement ? un autre pays, cela n'est pas convenable ni applicable. C'est pour cette raison que les objectifs de la protection internationale des droits de l'homme doivent consister ? promouvoir la coop?ration internationale normale dans le cadre des droits de l'homme, de l'harmonie, de la compr?hension mutuelle et du respect mutuel entre Etats, et les activit?s internationales en mati?re de protection des droits de l'homme se d?rouler en fonction des points de vue sur les droits de l'homme des pays ? diff?rents syst?mes politiques, ?conomiques et sociaux et ? diff?rents arri?re-plans historiques, religieux et culturels, et dans un esprit de recherche d'un terrain d'entente et de respect mutuel, et de renforcement de la compr?hension mutuelle et de la coop?ration.

    La Chine estime toujours que les actions qui portent pr?judice ? la paix et ? la s?curit? mondiale, comme les violations grossi?res des droits de l'homme par le colonialisme, le racisme, l'agression et l'occupation ?trang?res, l'apartheid, la discrimination raciale, le g?nocide, le trafic d'esclaves et les organisations terroristes internationales, doivent faire l'objet de l'intervention de la communaut? internationale en vue d'y mettre fin et d'assurer la protection internationale des droits de l'homme. Il s'agit non seulement d'un domaine important dans lequel doit se renforcer la coop?ration internationale en mati?re de droits de l'homme, mais aussi d'une t?che ardue ? laquelle sont confront?es les activit?s internationales en faveur de la protection des droits de l'homme.

    Maintenant que l'ancien ordre du monde est en train d'?tre remplac? par un nouveau, le monde devient de plus en plus troubl?. L'h?g?monisme et la politique du plus fort continuent ? porter pr?judice ? la paix et au d?veloppement mondiaux. Se servir des droits de l'homme pour s'ing?rer dans les affaires int?rieures d'autres pays ou pratiquer la diplomatie du plus fort emp?che sans aucun doute la r?alisation des droits et libert? fondamentaux de l'homme. Dans ce contexte international, la Chine souhaite travailler inlassablement ? ?tablir, de concert avec la communaut? internationale, un nouvel ordre international ?quitable et raisonnable, et r?aliser les objectifs des Nations unies en ce qui concerne la sauvegarde et la promotion des droits et libert?s fondamentaux de l'homme.