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    Activit?s s?paratistes de la clique du Dalai
    Lama et politique du gouvernement central
         
     

    Comment la clique du Dalai Lama s'est-elle livr?e ? des activit?s s?paratistes?

    Apr?s la fuite du Dalai Lama ? l'?tranger, le gouvernement central, partant des besoins d'ensemble que sont le maintien de l'unit? de la patrie et la sauvegarde de l'union de toutes les communaut?s ethniques chinoises, a adopt? une attitude d'attente patiente ? son ?gard. Sa fonction de vice-pr?sident du Comit? permanent de l'Assembl?e populaire nationale lui a ?t? gard?e jusqu'en 1964. Entour? des forces anti-chinoises ? l'?tranger et des s?paratistes tib?tains, le Dalai Lama a abandonn? fondamentalement le patriotisme qu'il avait exprim?, et men? de nombreuses activit?s visant ? scinder la patrie.

    - Il a proclam? ouvertement que le "Tibet est un pays ind?pendant". En juin 1959, il a fait une d?claration ? Mussoorie, en Inde, disant que "le Tibet a toujours ?t?, en r?alit?, ind?pendant." Au cours de sa visite en Grande-Bretagne en mars 1991, il a dit aux journalistes que le Tibet "est le plus grand pays occup? dans le monde aujourd'hui". Il a aussi pr?tendu que "la r?alisation de l'ind?pendance du Tibet est une t?che incombant sur tous les Tib?tains de l'int?rieur comme de l'ext?rieur du Tibet".

    - Il a fond? un "gouvernement en exil". Au d?but des ann?es 1960, la clique du Dalai Lama a tenu ? Dharamshala, en Inde, une "assembl?e populaire du Tibet", a fond?, ? cette occasion, un soi-disant "gouvernement en exil du Tibet", et a promulgu? une "constitution" stipulant qu "le Dalai Lama est chef de l'Etat", qu'il "nomme les ministres", et que "toute l'activit? du gouvrnement n'est valable qu'avec son approbation". En 1991, cette pr?tendue "constitution" a ?t? r?vis?e par la clique du Dalai Lama, mais elle stipule encore que celui-ci est le "chef de l'Etat". Le Dalai Lama et son soi-disant "gouvernement en exil" ont depuis toujours per?u l'"imp?t de l'ind?pendance" parmi les Tib?tains r?sidant ? l'?tranger; ils ont install? des "bureaux de repr?sentation" dans certains pays; ils ont publi? et distribu? des p?riodiques et livres pr?nant l'"ind?pendance du Tibet", et ils ont men? des activit?s politiques en vue de l'"ind?pendance du Tibet".

    - Il a reconstitu? des forces arm?es rebelles. En septembre 1960, la clique du Dalai Lama a cr??, ? Mustang, au N?pal, une nouvelle "Arm?e des d?fenses de la religion Shi Shui Liu Gang (quatre rivi?res et six buttes)", et a proc?d?, pendant une bonne dizaine d'ann?es, ? des harc?lements militaires ? la fronti?re chinoise. Anzhugcang Goinbo Zhaxi, premier commandant en chef de l'arm?e, a ainsi ?crit dans ses m?moires intitul?s Shi Shui Liu Gang (Quatre rivi?res et six buttes): On a "organis? une s?rie d'attaques contre les postes de sentinelles chinois"; parfois "une ou deux centaines de gu?rilleros tib?tains ont p?n?tr?, dans les zones occup?es par la Chine, jusqu'? une profondeur de 100 milles terrestres". Le Dalai Lama a fait l'?loge de Goinbo Zhaxi dans un article.

    - Il a r?pandu de faux bruits et lanc? des calomnies pour susciter de l'agitation. M?prisant les faits, le Dalai Lama a fabriqu?, durant les plus de 30 ans de vie ? l'?tranger, un nombre consid?rable de rumeurs, par exemple:"l'accord en dix-sept points a ?t? impos? au Tibet par la force des arm?es": "les Han ont tu? 1,2 million de Tib?tains"; "les Tib?tains sont devenus minoritaires au Tibet, en raison de l'immigration des Han"; "au Tibet, le Parti communiste a impos? le planning familial et l'avortement aux femmes"; ainsi que l'opposition du gouvernement ? la libert? de croyances religieuses, la pers?cution des religieux, le risque de disparition de la culture et des arts tib?tains, la grave destruction des ressources naturelles au Tibet, la pollution de l'environnement au Tibet, etc. Ce faisant, il cherche ? semer la discorde entre les diverses communaut?s ethniques, ? dresser les Tib?tains contre le gouvernement central. Les graves agitations qui ont eu lieu ? Lhasa entre septembre 1987 et mars 1989 ont ?t? d?clench?es ? l'instigation de la clique du Dalai Lama et selon le complot arr?t? par des rebelles qu'elle avait envoy?s au Tibet. Elles ont caus? d'?nomes pertes en vies et en biens pour les Tib?tains.

    Les actes et les paroles du Dalai Lama prouvent qu'il n'est plus seulement, comme il l'a dit lui-m?me, un leader religieux, mais un chef de file politique menant, depuis longtemps ? l'?tranger, des activit?s pour scinder la patrie.

    L'"ind?pendance du Tibet" est hors de toute discussion

    Le gouvernemnt central poursuit une politique cons?quente ? l'?gard du Dalai Lama, dans l'espoir qu'il renoncera ? son dessein s?paratiste, pour revenir ? une position de patriote favorable ? l'unit? du pays.

    Le 28 d?cembre 1978, le dirigeant Deng Xiaoping a d?clar?, lors de son entrevue avec des journalistes de l'Associated Press:"Le Dalai Lama peut revenir au pays, mais en qualit? de citoyen chinois", "nous n'avons qu'une demande, celle d'aimer la patrie. D'ailleurs, nous avons propos? de ne faire aucune distinction entre les premiers et les derniers ? se raillier ? la cause patriotique." Cette d?claration exprime l'attitude du gouvernement central qui est favorable au retour du Dalai Lama dans le pays.

    Le 28 f?vrier 1979, le Dalai Lama envoya des repr?sentants dans le pays pour contacter le gouvernement central. Le 12 mars, Deng Xiaoping les a re?us, et leur a d?clar? en termes explicites:"Le D?lai Lama est le bienvenu, et apr?s son retour, il lui sera aussi possible de ressortir." Au sujet des n?gociations du gouvernement central avec la partie du Dalai Lama, il a soulign?:"Il est maintenant question que le Tibet dialoguera, en qualit? de pays, avec les autorit?s centrales ou il discutera avec elles, en tant que partie de la Chine, pour r?gler certains probl?mes. C'est un probl?me r?aliste." "Le probl?me fondamental c'est que le Tibet fait partie int?grante de la Chine, tout doit ?tre jug? d'apr?s ce crit?re."

    Pour pousser, ? travers les n?gociations, le Dalai Lama et ses suivistes ? renoncer ? leur dessein s?paratiste, le gouvernement central a fait bien des d?marches. A partir de 1980, les dirigeants de l'autorit? centrale ont re?u, ? maintes reprises, les repr?sentants envoy?s par le Dalai Lama et leur ont r?affirm? la politique du gouvernement central ? l'?gard du Dalai Lama.

    .Afin de satisfaire les besoins des Tib?tains de l'int?rieur du pays comme de l'?tranger, d?sireux de rendre visite ? leurs parents et d'accro?tre leurs contacts, le gouvernement central pratique une politique leur accordant la libert? d'aller et de venir, disant que tous les patriotes, qu'ils se rallient ? la cause commune de bonne heure ou plus tard, sont d'une m?me famille, et qu'on ne reviendra plus sur le pass?. Du mois d'ao?t 1979 au mois de septembre 1980, les services comp?tents du gouvernement central ont respectivement re?u trois groupes de visiteurs envoy?s par le Dalai Lama, ainsi que deux groupes de Tib?tains revenus revoir leurs parents et visiter le pays. La plupart des parents du Dalai Lama qui se trouvaient alors ? l'?tranger sont revenus en visite au pays et ont rencontr? les membres de leurs familles. Depuis 1979, le Tibet et les autres r?gions habit?es par de Tib?tains ont re?u ? ce titre 8 000 Tib?tains r?sidant ? l'?tranger, et en ont aid? 2 000 ? s'installer d?finitivement dans le pays.

    Il est regrettable que la clique du Dalai Lama, au lieu d'accepter la bonne volont? des autorit?s centrales, ait men? de plus belle des activit?s s?paratistes. En septembre 1987, le Dalai Lama a annonc?, ? la commission pour les droits de l'homme du Congr?s am?ricain, son "plan en cinq points" ? l'?gard du soi-disant statut du Tibet, pr?nant continullement l'"ind?pendance du Tibet"; il a complot? et suscit? maintes fois de graves ?meutes ? Lhasa. En juin 1988, il a avanc? une proposition ? Strasbourg pour une solution au probl?me du Tibet. Cette proposition est fond?e sur sa d?claration selon laquelle le "Tibet est depuis toujours un pays ind?pendant"; elle fait du probl?me de l'autonomie d'une communaut? ethnique au sein d'un pays celui de relations entre un m?tropole et un Etat vassal, entre un Etat protecteur et un protectorat. Son essence est de nier la "souverainet? de la Chine sur le Tibet", et de r?aliser l'"ind?pendance du Tibet" sous une forme d?guis?e. Il s'agit en fait d'une nouvelle version de l'ancien complot des imp?rialistes de se partager la Chine. Et cette proposition a ?t? naturellement rejet?e par le gouvernement central. Ce dernier a d?clar? explicitement que l'ind?pendance du Tibet est impossible, et que l'est ?galement une semi-ind?pendance ou une ind?pendance sous une forme d?guis?e.

    Malgr? tout, le gouvernement central esp?re que le Dalai Lama s'arr?tera au bord de l'ab?me, et reviendra dans le droit chemin. D?but 1989, le Bainqen Lama est mort. Compte tenu des relations religieuses historiques entre le Dalais Lama et le Bainqen Lama, c'est-?-dire entre le ma?tre et le disciple, l'Association chinoise des bouddhistes a invit?, avec l'approbation du gouvernement central, le Dalai Lama ? revenir participer aux activit?s organis?es ? la m?moire du Bainqen Lama. Le pr?sident de l'Association, Zhao Bochu, a remis la lettre d'invitation au repr?sentant personnel du Dalai Lama. Cela a fourni ? ce dernier qui ?tait en exil depuis 30 ans, une bonne occasion de revenir au pays rencontrer les personnalit?s des milieux bouddhistes. Or, le Dalai Lama a refus? cette invitation.

    En 1989, une nouvelle vague de sentiment anti-chinois a d?ferl? dans le monde. Nourrissant un objectif politique bien ?vident, la Commission du Prix Nobel de la paix a d?cern? le Prix Nobel de la paix pour 1989 au Dalai Lama, ce qui a donn?, ? ce dernier et aux s?paratistes tib?tains, un immense encouragement. Depuis lors, le Dalai Lama a voyag? partout dans le monde, pr?nant son but de scinder le pays.

    Par ailleurs, le Dalai Lama a redoubl? d'efforts pour cr?er et susciter des ?meurtes dans la r?gion du Tibet. Le 19 janvier 1990, il disait ? la radio britannique que, si le gouvernement de Beijing n'avait pas commenc?, d'ici un an, ? discuter de son plan sur l'autonomie du Tibet, il devrait changer sa position de compromis envers la Chine, car beaucoup de jeunes Tib?tains proposent de recourir ? la force des armes." A travers des ?missions en langue tib?taine de la "Voix de l'Am?rique", il affirmait le 4 avril 1991 qu'"il fallait intensifier toute activit? en vue de l'ind?pendance du Tibet"; le 10 octobre 1991, par le m?me canal, il a prof?r? des paroles d?magogiques:"Actuellement un grand nombre de Han affluent vers le Tibet, de sorte que beaucoup de jeunes Tib?tains ne peuvent pas trouver de travail, ce qui a accru l'instabilit? sociale au Tibet. Il est par cons?quent bien probable qu'?clateront de nouvelles ?meutes."

    De toute ?vidence, c'est parce que le Dalai Lama s'obstine dans son dessein de l'"ind?pendance du Tibet" et poursuit ses activit?s s?paratistes ? l'?tranger que les contacts entre le gouvernement central et ses repr?sentants se sont termin?s sans r?sultat.

    Le 19 mai 1991, le premier ministre Li Peng du Conseil des Affaires d'Etat de la R?publique populaire de Chine a d?clar? dans une interview accord?e ? un journaliste de l'Agence Chine nouvelle ? la veille du 40e anniversaire de la lib?ration pacifique du Tibet:"La politique du gouvernement central ? l'?gard du Dalai Lama est cons?quente; elle est rest?e inchang?e jusqu'? aujourd'hui. Nous n'avons qu'un principe de base, ? savoir que le Tibet est une partie inali?nable du territoire chinois. Sur ce probl?me fondamental, il n'y a aucune marge de marchandage. Le gouvernement central a toujours consenti ? contacter le Dalai Lama, mais il doit cesser toute activit? s?paratiste et modifier sa position sur l'"ind?pendance du Tibet". A l'exception de l'"ind?pendance du Tibet", tous les autres probl?mes peuvent ?tre n?goci?s."

    Le gouvernement central est toujours dispos? ? entamer des n?gociations avec le Dalai Lama, et poursuit une politique tr?s claire ? son ?gard. Pour assumer sa responsabilit? envers l'histoire, envers la nation chinoise, et envers les 1,1 milliard de Chinois, dont les Tib?tains, il ne fera en aucun cas de concession sur la question fondamentale qu'est le maintien de l'unit? du pays. L'effort pour chercher ? parvenir ? l'"ind?pendance du Tibet" en s'appuyant sur les forces ext?rieures et scinder ainsi la patrie est un acte abominable de trahison envers la patrie et la nation chinose, les Tib?tains y compris. Le gouvernement central le stigmatise avec r?solution et n'autorisera jamais son aboutissement. Comme par le pass?, il continue ? mettre en ?uvre une politique de privil?ge et une s?rie de mesures de traitements pr?f?rentiels dans son effort pour d?velopper la r?gion du Tibet, en vue d'y resserrer l'union des diverses communaut?s, de faire prosp?rer son ?conomie et sa culture, et d'am?liorer les conditions de vie des habitants. Toute activit? visant ? saper la stabilit? et l'unit? au Tibet, toute tentative de susciter des ?meutes ou de l'agitation, sont des infractions ? la loi; elles vont ? l'encontre de l'int?r?t fondamental des populations tib?taines, et elles seront r?prim?es s?v?rement.

    A condition que le Dalai Lama renonce ? son dessein s?paratiste et qu'il reconnaisse le Tibet en tant que partie inali?nable du territoire chinois, le gouvernement central est pr?t ? n?gocier ? tout moment avec lui, et souhaite le voir revenir au pays le plus vite possible et ?uvre au maintien de l'unit? du pays, ? la solidarit? des diverses communaut?s, ? la prosp?rit? et au bonheur des populations tib?taines.