<dl id="aa2s4"><tbody id="aa2s4"></tbody></dl><kbd id="aa2s4"></kbd>
  • <abbr id="aa2s4"><code id="aa2s4"></code></abbr> <cite id="aa2s4"><tbody id="aa2s4"></tbody></cite><cite id="aa2s4"></cite>
  • <cite id="aa2s4"><tbody id="aa2s4"></tbody></cite>
    ACCUEIL
    CHINE
    RELATIONS
    EXTERIEURES
    ECONOMIE
    CULTURE
    SCIENCE ET
    EDUCATION
    SOCIETE
    ANALYSES
    PROTECTION DE
    L'ENVIRONNEMENT
    TOURISME
    CHINOIS D'OUTRE-MER
    PERSONNALITES
    Autres sites
    chinois en fran?ais

    Qui sommes-nous?











    METEO
    Nouveau village tibétain dans les montagnes

    à plus de 4 000 m d'altitude, un petit village au sens moderne laisse voir des batiments de deux étages de type tibétain, a sa propre route goudronnée, des boutiques offrant toute une gamme de marchandises. Une jeune Tibétaine glisse une carte magnétique dans l'appareil téléphonique, et de jeunes gar?ons jouent au billard. C'est un nouveau paysage qui nous appara?t après cinq heures de voiture dans les montagnes enneigées. à notre descente de voiture, il nous semble avoir découvert un paradis.

    Ce village s'appelle Nangsai. Il est situé à 45 km de l'est du district de Gongbo'gyamda et à la limite de district de Nyingchi. C'est la seule voie pour aller au lac Basumco, site touristique connu, et c'est aussi le siège gouvernemental du bourg de Bahe.

    Ce village est très petit ; il possède une seule rue de 200 m de long et d'une largeur d'un peu plus de dix m ; on en fait le tour en une dizaine de minutes. Pourtant, il comprend des infrastructures comme usines, banque, magasins, et autres.

    Nangsai compte une centaine d'habitants répartis en dix-huit foyers, dont onze font du commerce local. Les autres gagnent leur vie par les transports, la cueillette des sphéries et des champignons qui croissent sous les pins.

    Des deux c?tés de la rue se rangent de petits batiments de deux étages en pierre et en bois de style tibétain. Certains murs sont couverts des tuiles multicolores. On dirait des palais sous les rayons du soleil. On y trouve sale de karaoké, poste de réparation de voitures, magasin, h?tel, restaurant et salon de thé. La plupart des habitants sont vêtus à la mode ; certains portent le costume européen. Si on ne voyait pas leur visage bronzé, on pourrait se croire dans un petit bourg développé de l'intérieur du pays.

    Il est difficile de penser que dans les années 1980 Nangsai était un village très pauvre ; les maisons en terre et en pierre laissaient pénétrer la pluie. Il était difficile de marcher sur la route où la boue se mêlait à la bouse. Il n'y avait que cinq ou six maisons de bois. Quelques familles vendaient du thé, et le revenu net annuel du village était inférieur à 150 yuans par personne en moyenne.

    Depuis 1999, la province du Guangdong a investi 2,7 millions de yuans dans l'éducation, l'hygiène, l'industrie, le commerce, les services bancaires et postaux du bourg. Sous l'influence des commer?ants de l'intérieur du pays, les villageois de Nangsai ont commencé à bouger. Certains ont construit des maisons de 80 000 yuans au bord de la route avec leurs propre argent et 5 000 yuans de subvention de l'état. Ils ont loué le premier étage ou y ont aménagé une boutique tandis qu'ils habitent l'étage supérieur. Ils peuvent gagner entre 30 000 et 200 000 yuans par an. Les familles qui n'ont pas construit de maison dans le bourg font du transport ou cueillent des champignons sauvages qui poussent à plus de 3 500 m d'altitude et qu'on exporte principalement au Japon. Le prix varie de 60 à 580 yuans le kilogramme.

    Le ? magasin Minhe ?, à l'est du bourg, appartient à Ni Zhanlu. à l'extérieur, quelques jeunes tibétains occupent les deux tables de billard, à 2 yuans la partie. Ni Zhanglu travaille ailleurs, sa femme s'occupe des affaires familiales.

    Au fur et à mesure du développement de l'économie tibétaine, les villages comme Nangsai et ses voisins se sont enrichis. Le retard n'est plus le surnom du Tibet.

    à plus de 4 000 m d'altitude, un petit village au sens moderne laisse voir des batiments de deux étages de type tibétain, a sa propre route goudronnée, des boutiques offrant toute une gamme de marchandises. Une jeune Tibétaine glisse une carte magnétique dans l'appareil téléphonique, et de jeunes gar?ons jouent au billard. C'est un nouveau paysage qui nous appara?t après cinq heures de voiture dans les montagnes enneigées. à notre descente de voiture, il nous semble avoir découvert un paradis.

    Ce village s'appelle Nangsai. Il est situé à 45 km de l'est du district de Gongbo'gyamda et à la limite de district de Nyingchi. C'est la seule voie pour aller au lac Basumco, site touristique connu, et c'est aussi le siège gouvernemental du bourg de Bahe.

    Ce village est très petit ; il possède une seule rue de 200 m de long et d'une largeur d'un peu plus de dix m ; on en fait le tour en une dizaine de minutes. Pourtant, il comprend des infrastructures comme usines, banque, magasins, et autres.

    Nangsai compte une centaine d'habitants répartis en dix-huit foyers, dont onze font du commerce local. Les autres gagnent leur vie par les transports, la cueillette des sphéries et des champignons qui croissent sous les pins.

    Des deux c?tés de la rue se rangent de petits batiments de deux étages en pierre et en bois de style tibétain. Certains murs sont couverts des tuiles multicolores. On dirait des palais sous les rayons du soleil. On y trouve sale de karaoké, poste de réparation de voitures, magasin, h?tel, restaurant et salon de thé. La plupart des habitants sont vêtus à la mode ; certains portent le costume européen. Si on ne voyait pas leur visage bronzé, on pourrait se croire dans un petit bourg développé de l'intérieur du pays.

    Il est difficile de penser que dans les années 1980 Nangsai était un village très pauvre ; les maisons en terre et en pierre laissaient pénétrer la pluie. Il était difficile de marcher sur la route où la boue se mêlait à la bouse. Il n'y avait que cinq ou six maisons de bois. Quelques familles vendaient du thé, et le revenu net annuel du village était inférieur à 150 yuans par personne en moyenne.

    Depuis 1999, la province du Guangdong a investi 2,7 millions de yuans dans l'éducation, l'hygiène, l'industrie, le commerce, les services bancaires et postaux du bourg. Sous l'influence des commer?ants de l'intérieur du pays, les villageois de Nangsai ont commencé à bouger. Certains ont construit des maisons de 80 000 yuans au bord de la route avec leurs propre argent et 5 000 yuans de subvention de l'état. Ils ont loué le premier étage ou y ont aménagé une boutique tandis qu'ils habitent l'étage supérieur. Ils peuvent gagner entre 30 000 et 200 000 yuans par an. Les familles qui n'ont pas construit de maison dans le bourg font du transport ou cueillent des champignons sauvages qui poussent à plus de 3 500 m d'altitude et qu'on exporte principalement au Japon. Le prix varie de 60 à 580 yuans le kilogramme.

    Le ? magasin Minhe ?, à l'est du bourg, appartient à Ni Zhanlu. à l'extérieur, quelques jeunes tibétains occupent les deux tables de billard, à 2 yuans la partie. Ni Zhanglu travaille ailleurs, sa femme s'occupe des affaires familiales.

    Au fur et à mesure du développement de l'économie tibétaine, les villages comme Nangsai et ses voisins se sont enrichis. Le retard n'est plus le surnom du Tibet.

    à plus de 4 000 m d'altitude, un petit village au sens moderne laisse voir des batiments de deux étages de type tibétain, a sa propre route goudronnée, des boutiques offrant toute une gamme de marchandises. Une jeune Tibétaine glisse une carte magnétique dans l'appareil téléphonique, et de jeunes gar?ons jouent au billard. C'est un nouveau paysage qui nous appara?t après cinq heures de voiture dans les montagnes enneigées. à notre descente de voiture, il nous semble avoir découvert un paradis.

    Ce village s'appelle Nangsai. Il est situé à 45 km de l'est du district de Gongbo'gyamda et à la limite de district de Nyingchi. C'est la seule voie pour aller au lac Basumco, site touristique connu, et c'est aussi le siège gouvernemental du bourg de Bahe.

    Ce village est très petit ; il possède une seule rue de 200 m de long et d'une largeur d'un peu plus de dix m ; on en fait le tour en une dizaine de minutes. Pourtant, il comprend des infrastructures comme usines, banque, magasins, et autres.

    Nangsai compte une centaine d'habitants répartis en dix-huit foyers, dont onze font du commerce local. Les autres gagnent leur vie par les transports, la cueillette des sphéries et des champignons qui croissent sous les pins.

    Des deux c?tés de la rue se rangent de petits batiments de deux étages en pierre et en bois de style tibétain. Certains murs sont couverts des tuiles multicolores. On dirait des palais sous les rayons du soleil. On y trouve sale de karaoké, poste de réparation de voitures, magasin, h?tel, restaurant et salon de thé. La plupart des habitants sont vêtus à la mode ; certains portent le costume européen. Si on ne voyait pas leur visage bronzé, on pourrait se croire dans un petit bourg développé de l'intérieur du pays.

    Il est difficile de penser que dans les années 1980 Nangsai était un village très pauvre ; les maisons en terre et en pierre laissaient pénétrer la pluie. Il était difficile de marcher sur la route où la boue se mêlait à la bouse. Il n'y avait que cinq ou six maisons de bois. Quelques familles vendaient du thé, et le revenu net annuel du village était inférieur à 150 yuans par personne en moyenne.

    Depuis 1999, la province du Guangdong a investi 2,7 millions de yuans dans l'éducation, l'hygiène, l'industrie, le commerce, les services bancaires et postaux du bourg. Sous l'influence des commer?ants de l'intérieur du pays, les villageois de Nangsai ont commencé à bouger. Certains ont construit des maisons de 80 000 yuans au bord de la route avec leurs propre argent et 5 000 yuans de subvention de l'état. Ils ont loué le premier étage ou y ont aménagé une boutique tandis qu'ils habitent l'étage supérieur. Ils peuvent gagner entre 30 000 et 200 000 yuans par an. Les familles qui n'ont pas construit de maison dans le bourg font du transport ou cueillent des champignons sauvages qui poussent à plus de 3 500 m d'altitude et qu'on exporte principalement au Japon. Le prix varie de 60 à 580 yuans le kilogramme.

    Le ? magasin Minhe ?, à l'est du bourg, appartient à Ni Zhanlu. à l'extérieur, quelques jeunes tibétains occupent les deux tables de billard, à 2 yuans la partie. Ni Zhanglu travaille ailleurs, sa femme s'occupe des affaires familiales.

    Au fur et à mesure du développement de l'économie tibétaine, les villages comme Nangsai et ses voisins se sont enrichis. Le retard n'est plus le surnom du Tibet.


    Beijing Information     2005/10/25

    Imprimer Envoyer par email



    Copyright © China Internet Information Center. All Rights Reserved
    E-mail: webmaster@china.org.cn Tel: 86-10-68326688
    主站蜘蛛池模板: 国产成人精品999在线观看| 久久99精品久久久久久| 国产一级淫片a视频免费观看| 国产乱子伦在线观看| 丰满少妇作爱视频免费观看| 香蕉视频在线观看免费国产婷婷| 国产亚洲日韩在线a不卡| 精品福利一区二区三区| 大学生粉嫩无套流白浆| 免费一级国产大片| 五十路在线观看| 色戒7分27秒大尺度在线| 日韩精品无码成人专区| 国产对白真实伦视频在线| 国产对白精品刺激一区二区| 亚洲欧美成人综合久久久| 亚洲欧美乱综合图片区小说区| 三级中文有码中文字幕| 国产日产久久高清欧美一区| 偷拍区小说区图片区另类呻吟| 金牛汇app最新版| 国产日产一区二区三区四区五区| 欧美老人巨大xxxx做受视频| 老师好紧开裆蕾丝内裤h男男| 国产午夜无码福利在线看网站| 日本三级黄色片网站| 波多野结衣教师在线| 久久99精品波多结衣一区| 亚洲精品亚洲人成人网| 国产精彩视频在线观看免费蜜芽| 中文字幕久久久久一区| 日本不卡高字幕在线2019| 妇女性内射冈站HDWWWCOM| 成人a免费α片在线视频网站| 中文字幕乱码人妻综合二区三区| 翁止熄痒禁伦短文合集免费视频| 国产一级做a爰片久久毛片| 国产成人涩涩涩视频在线观看| 中国高清色视频www| 久久精品视频99精品视频150| 四虎国产精品免费久久久|