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    Renaud de Spens : Face à la tendance de la globalisation, seul le dialogue sur le pied d'égalité permet le développement en commun

    ? Le Sommet du G20 prévu en France cette année doit créer un environnement plus favorable aux pays en développement, et non le contraire ?, a dit le ministre chinois des Affaires étrangères Yang Jiechi le 7 mars à Beijing quand il répondait à une question posée par le journaliste du Figaro relative aux attentes sur le G20.

    Selon M. Yang, le Groupe des 20 (G20) sert de plateforme importante à la gouvernance économique mondiale pour faire face aux grands défis dans les domaines économique et financier. Le G20 représente un effort dans la création d'un nouveau type de partenariat global pour le développement et reflète le contexte changeant de l'économie mondiale.

    A ce propos, Renaud de Spens, commentateur et ancien attaché de presse près l'Ambassade de France en Chine, estime que le G20 est un nouvel outil et un nouveau mécanisme pour la globalisation. Dans ce cadre, la Chine a pu aider la Grèce lors de la crise en Union européenne.

    Selon Renaud de Spens, il n'y a plus d'hégémon dans le monde dans ce contexte de la globalisation. Personne ne veut l'être d'ailleurs. La France s'inquiète toujours des G2. Mais, par rapport à la visite de Deng Xiaoping aux Etats-Unis il y a 30 ans, les visites de haut niveau échangées de nos jours ont une signification quelque peu affaiblie tandis que les échanges non-gouvernementaux se sont multipliés et sont devenus plus fréquents. Cela ne changera pas quels que soient les changements intervenus sur le plan politique. C'est pourquoi, seul le dialogue sur le pied d'égalité permet le développement en commun.

    A propos des relations sino-fran?aises en 2011, Renaud de Spens affirme qu'il est optimiste. Parce que des facteurs culturels communs déterminent que les deux pays ne peuvent aller dans des directions opposées. Les échanges culturels et des pensées sont devenus un lien resserrant les relations entre les deux parties tandis que les frictions antérieures ou celles qui appara?traient ultérieurement sont toutes dues au manque de la confiance mutuelle et à la crainte. De ce fait, nous devons maintenir la communication sur la base de la connaissance suffisante des différences culturelles entre les deux pays.

    www.tsbeehall.com     2011/03/09

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